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“Fe ponai ede onde
tra quent re
tae lependance-de‘eeus qu Fost eaowtey est
: C
tie ‘ reconmalesince ei
‘it ul Ont procure eiecete ;
lee
re
‘irtout releau par la crainte desuseitess pekdant
Fexercleo Ue. ges fnetions, des. enneins dul
plsentrévandreIeriame are rete de ea
Jours, Les intrigues, les colliitaions, tes menaccs
pleniiront ang: mn -egUrage’ les: orUres
‘Eien ier ean
r amet remplis jie
soronttollventlnlerd 8 ul desobelry rarer
{nent & fol Wmoigner do 1a souglssion et deta
fhiclité; ils ne pourront.penzet 42a nissance
sans cutrevoir le jour détermiaé-0d elle finira..Il
doit meme existor un inletvalle, dens’ tous. ies
Blats-Unisy ol le pouvoir exéeutif est presque
fans force, Cest celui ot le dépositaire cat pres
du terme de ses foncligns. Aussi plusieurs obscr~
‘ateurs, én approuvant toutes ler resolutions do
1a plopart des Iégistatures amcricaines, ont cru
aperosvoir qu jus’ cy our lo
les
avole exeeus
nde autorité, que
tes tribanank peu
als que hinob-
nds de
Tes
avait pas cu Ube assez grap
subsides ne sont pas pay
respectés et les delits impudi
servation des lois n'y‘ehitrabie pas de,
fords: patco que les mare sat dogces
besoins Facites & satistaire, et que. tes hi
n'y. font pas entassés. commie en Bato
wil en soit, fl est du moins certal
I pouvoir exteutif des
est suffisant pour es. Blats-Unis, it ne le serait
as pour uae grande nation.
‘Du gowernement féde
I est vrai qu'an peuple nombreux pourrait se
‘diviser et former plnsiears souverainetés qui se
Tigueraient entre elles, commeles cantons suisces,
Jes provinces unies et les Blats-Unis de TAmé=
que: voici, jo erols, les suites mécessuirés de
Tunion “fodérative. Elle pourra subeister eins
trouble, si les diverses parties de Paaion want
autre'intérét commun ‘que celui de la paix et
Weta guerre; cesta-dire si elles se bornent 2
tontracter une alliance. si elles se forment par
lune assembiée permanente de leurs envoy¢s res~
nlf si cex envoyés ne s'oceupent que da soin
ia defence générale du ays, quils
armée {fears onirs, quvils ne
puissent faire aucune lol, fmposer aicun subside,
ELenfin, si cha ue proviice dispose a son gré de
fs fore’ particuttres,saut 2 fouroi les secours
Stipules pat les traitésd'aesoctation ; mais surtout
{1 fut que’ ce peuple soit purement agricole, qu'il
soit Fabri des invasions, par sa position nata-
talc, que les diverses provinces alent & peu pres
Tes méines produits, les mémes moyens indus
trie, qurelles ne putssent jamais se trouver, (a
concurrence. our leur ‘commerce, guelles
esigent pos differents geares de protection. Tl
faut que ce peuple reste pauvre, indifferent ux
querelles de'ses voisins, et que sil y prea quel-
ue part, ce soit coming auaitiaire stipend’.
‘Si.U0 peuple ent etre commercant, s'il veut
grote quelghe influence sor les intel des oa
tions, proteger les moyens de maintenir la pals
inctale; alee provoges got, divers geared de
Ficbesses; el faut, pour Violéret des anes, des
forces maritimes,” pour celui des autres, ‘de
ef ee
ARCHIVES PAR'-EMENTAIRES,
| 80n autorité abs
M
‘grandes forces de terre; si plusieurs, entourées
/
(ee godt stay so aE
de raisins puissant, soal obligdcu assucr leurs
ie ee eeu aetara tt
| evident qu'une simply etiance ‘ne. suthrat pas
Fea salir en enreté contre fy invasions de
leurs: is, que Irs. provincés ‘maritimes. no
‘sauraiént supponet seules tes frais dv Pentestion
Aone ott ea pagylooes Tronics, les ait
emg ya Paring. iit done alors resserrer
les liens et eonfoodee: tex tolerate, aseujli
tout les pariles de l'anion: aux mémes charges
aux méines.avanlages, eréet un corps eget
‘Alume pusshogs xéelisice pout rte font ce
i infresso association et genéral, leat con-
ei arai¢es, les autoriser & élablir des im-
‘Mais bleutot-lajalousie Getatera entre les pro-
‘inces. La differenes de leurs inlérets Jes meltra
soavent en opposition | chacan
ois, son gouvernement, aura
callers; ehacane’ del
Grands” avantazes
int esprit publi
es sacrifices qu'ex
Pour fuire respecter
it faudra sans cease
udra los
association; il o'y aura,
On supportera aver’ peine
ig elation de Fanon,
§ décrets du corps federal
agmenter ea prgrogatives;
Ja place du ehet do ce corps. deviendra blentol,
‘a son importance, da nujet de brigues et do
{uerelles. Pour les préventr, un stathoudert he=
dave ser ctl ef enfin fe eathonder, en
rofitant des rivalités des provinces, parviendra
el a sue fed woe pa ln ues, 8
fe (i.
las qu'rnpori, at reste, la question de sa~
voir Un gouversement fedzrati) peut Biro dus
Table? Comment regretert-on de Dire pas nd
fous un paral! eit polaquil ett val
vee peuvote cxsouf yolfent rerement ast
Fautorité pour fairy ovserver tes fos, puisqu'lt
est vrai que toute societs, pour peu qul
hombreute, n'a pas de’ pagti_plus prudent. &
suitre, que de contior Ye. pouvoir exéeatit hiré-
ditairement aun seul mazistrat, soit, qu'on Lap=
elle rol, duc. comte ch marquis, suivant éteo~
ine du ferriaires et personne n'igaore que, dans
ia'stuation actuce ol trolable-
bie dee
cox dappare
pas traits
Du et monarchique,
Quel gouverae nent convient done Je plus &
tune erate nation? Mest Ampossibte dhésiter
Sanaa réponse est gouvernement mons
chique.
ene comprends pa
cle, tous ke our
fous le nom de monar-
ents ausquels on est on
‘usige de tu prodiguor :|partout ou la volonté da
ince est We fo, jo ne puis aperecvoir que 10
lespotisme. Mais Feuteyjds par monarchle le kou-
La congts amit ane, par ls acnals ue
aulttion (erative To dng do liauion eklsts sae
Sodan aon cee
membres
meron desAa
vernement od un teu! régit avant la foi, of un
eul eat. chargé de la faire exécoter et personne
ignore que lorsque le pouvoir ‘exéoutit cst
dans les mains due sool,-it a. plus de force ct
de céliita qde lor’ est conte 4 un corpe qut
pee ‘eliberer Te tanps ob eat eeonatre
ir.
inal la. véritable monarchie cat le gouverne-
iment de fa lof; et certaineent on ne: peut
en faire un plus hel éloze; tar it n'est 1
itoyen qui ne soft libre lersque fa lot est supé=
Hleure 2 toute autorivé.
ie dissertation ate Bur, les autzes gou-
‘vernements peut faire naltre quelques reflexions
sur Fexeollenee dv ta monarchies elle varatira
peut-sire inutile, ear en général les. Frang;
iment la monarchie, Mais il eat boa de rappeler
fous ses avantages; ceux qui les. connaltront
désireront bien plus encore dv votr élablir, dans
fa, constitution du royaume, toutes. les parties
nécescaires & ta perfection ‘de cette forme de
ouvernement.
"le erois non-seulemont que le gouvernement
monarchiqae est le scul qui vonvienne 4 un grand
prapl mals encore que et cau qui convient
feplus'a tout peuple dont fe nombre excide deux
ou trois cents mille hommes: Ita suriout facan
toge do pouvor se concer are a ibe ning
rale de fous ies membres de Ta socile, tandis
‘due, sous. Te nom de revublique, gous Te
mene de d¢mocratie, existent tant d'aristocr
reelerOn peut odie que, ce es ancicos,
aveun peuple n'était libre, puisque ta multitede
ait estlave dans tous esppays; et cest la raison
pour laquelle leuragnstitations peuvent st rare~
nent convenir aux Reuples modernes.
a fixant 1a constitution de la France, it faut
bien’ coasidérer immense population’ de co
royaume. Une association ausei nombreuse est si
{oth de fa oature quil ne faut pas. préfendre la
des movens simples, tels que
[Saseyoie nationale}
gouverner ave
eux qui suffire pour résie une ville
‘ou une petite province.
Quand on reféchit sur ce sujet important, on
cat surpris de voir que fe moyen qui. sétuil le
plus imagination est rourent celnt qui soppos
[-plus au bonheur public, et quion est force We
rérer un autre qul, at premier apercu, sein-
lait contredire Tes Iummires de 1a ralsou.
Oa ‘lt eurlout jas. slvr, aveustément
toutes Tes toons des philosuples : tear juste pré-
‘Yention conte les prejuz¢a vulgaires les a presque
Toujours entrainey a deb des bornes. tis ont
souvent qualiié erreurs méprisables des inaxi-
thes ou des opinions n-ceesaires &. la flict des
itoyens; ils mont pas ascez considers que les
fnstftaticns politiques, malgré Tears vieos appa
Tents. doivent quelquetois leur origine & Vexpe-
Tienes, En matiére de goavernement, beauroup
ao shes ont mits Fexemple de Platon, a
rel des tiques qui ne pourront jamais edie
tor que dans lous livre ane
‘On doit encore observer_qne ceux, qui_propo-
seat” pour hases da. gouvernement des princi
sds dans es Certs des moralistes et “des phi
fosophes ont vn grand arantaze sur ceux qui
‘ealont diiger les institutions d'aprés ta faiblesse
ot les passions des hommes. Irest plus facile aux
premiere le se fair eatendte et d'ovalter Fima-
Bination deta maltitude, qui conto
Ment fa licence avec la liberté; mais ceax qui
Gonnent & cette derniére expression le veritable
fens qu'elle doit avoir ont de. cranes dificultes
vainere. Les prévantions qu’
ARCHIVES PARLEMENTAIRES,
[tt a90t m9)
Fendre a liber, durable, ox ties ap=
Drourfes len plas Ge ssageteid ede resign,
Sos ule no pei enter avend our
iment parfat. Les derauts,etaugimenteat avec Ta
compilation des moyens Bécessaires pour maia=
tenit Fordee publie ‘asta rofaume: male
i faut examiner ces. moyens avec attention a
las sévdre, et adopter ceax qui offrent te moins
insonvenients et fe plus Pavantazes.
‘oreunisationd'un gouvernement monarchique’
doit dire telle que le monarque jouisse de toute
autor neues pour ire excel Is fl
uF maintenir la sdreié ot la tranquillivs dang
intéricur, et garantir Bat des entreprises: de
dixnite royale, état éloctive, elle excite-
meat Fambition, que clique vacance du
isciteralt des brigues,, des co
{raincrait des qucrelles sanglantes, ain
prouvent les exemple
Giens et modernes.. Da endant. {> temps,
onsacré aux élections, il-n'y.aurait point, dans
Te royaume, We pouvoir exéeutit assez respects
pour faire: obserter les fos; cestaedire. que. La
Inort d'un roi serait toujours le signal du Houble
et de anarchic. a couronne doit done, ttre in-
divisible ef hérélitaires et la fot de théredite
doit toujours étre inviolable, afin que fes eitoyens
"égorgent pas sur les marehes' du tréne pout
roi,
ite du Roi n’stant que Vexécution de ta
t aucune partic du gouvernement et
detadministration a laquelle cetieautorité pnisse
fire etrangte, Mais je Ne. veux point ici fue te
«til des prerogatives qut doivent ti ire reser-
vées.
Ea examinant tes principes qui doivent régler
organisation du pooxpraement francais, non
‘ions jamais quo, pour prevenic fo. despotisme,
il faut remire Impovsibie ta rCunion de tous les
pouvoirs, dans viet mains quelle dat eire
Macee.
Mars moyens doivent Ge deintsa empéch
Jeltoi dabuser de ta force. publique, pour
exéouter ses volont’s particuligre, et pont
parer exclusiveinent de [3 puissance Ivica
os mosens ont tris-simples et trdg-cont
la permanence ou te retour annucl des Assem
ides natfouales, —Ta nlite de tous les subsid: §
‘qUi no seratent pas accardes par cea Assemblées,
Phattiberte de la'presse, —"Tarmée constituee
‘ae mantére A ne pouvate jamais. tire employée
conte la liberté publiqte, — de tions
provinciales, palites, ~~ tous
ng plus direclemeht ineressés aux affaires
nts de autorite, ot Ia destruce
tion dea ondres arbitraites.
M fara top de teps poor analyse eg
de la Constitution ; mon objet
tiquer tous les principes de fa mo~
Seulement de’ proposer quelques
des points important que j'ai era
go as seer medi
‘gulorite du monarqge devant étre tellement
ie honhear du peaple,
je joug
regice quello passe fat a
Iuis quelle ne paisse jamais fot imposer
une honteuse servitude, il est absolament ne=
cossaire que eclte autorité soit rendue ferme et
Stable dans ses mains, afin qu'il soit impossbl
Atont corps, & tout particulier de la, Iu ravit
tune autorite usurpée n'est plus réglée par.
‘en lui tant la placé que la Constitation I
‘avait assignce, on la met hors des limites; ellUse a
wa plas aucin flo, et rane peot reaptcher
‘oUF wigintenir let drojts de ta couronne, il
faut que fo personne da fot soit inviolab
series ear SiLntait jas hors.de Fatt
tribumiux cu de toute-autorite, it existér
Pouvoir exceulif supérieur au sien, Il ne gerait
plus monarque on, eee
Ii dai dire congidégs coamme le chet” dela na~
io ae erpreenar, ds 1d males du peuple
francais: doit etre le distnbuteur des hotneuts
fetes graces un grand éclat doit atingncer son
ignite.
ution doit, en organisant le pouvoir
environner ‘de tous 1s obslales ne
ceécalres, pout qui ne, pore jamalsateinte at
pouvoir éxceutif ou quil ne pulsse pas s’en em-
rer
P Oe ira peat-tge, quan on aura tu mes ré-
Rexious sur ce sujet, que je parle avec proli
des précautions & prendre pour garantir Leu
dda foi des entreprises du Corps Iéxislai, tandi
quelgnedonuaaeun développement ax opens
Farréter les cotreprises de, Taulorile royale 5
tas la olson de elle diference est facile &
uaa poupte est éetaire sur ses
roi, dee quit focouype sa, Hber, ne eau-
ait Id perdre que par fe mauvals usage quil
pedi en faire; mais. quand il imporie & la con-
Fervation de cette méme liberté, de placer une
flante polisance dans, Ies"mains, ‘un, teal
jomine, il faut bien plus de combinaisons pour
fa déferdre de toute usurpation, et pour Finvestit
un free rele qu'il wen fat pour Femécher
asscrvie fe peuple, Nul_n'est plus penetré que
moi de fa nécessite de. cetenit Tavtorite royale
dans de justes limits mais Tex moyens-me pax
falssent rouves, ils st dans ia bovete de tout
gomprendre,
Du Corps lgistai
Nous avons vu précédemment que ta loi, pour
ure lovjours dirigee vers Fintérét public, nedoit
pus ctr faite ean Totervention es represen~
fi bene ls par fe ore: gave
fife nommcs que poer un fens cour, aa que,
devant rontret ica dans in wonton des
ies efoyens iis movblient ou Be raise
Jamais les drolis ausches See te.
‘a dot fav pariciper au cholx des représen-
tants le plus grand oubre de closenspos-
sible, en frena seulement qusuesprcaations
pour ne jasadmettre des hommes sans domiclle
Sune extreme Ingen contats
representa
reprise
On doi exizer qn le
uo dee pereonned ayn une
‘Meubles fone quil cot nécouite qutell
valeur considerable, Je croirais qu'elle devrait
eulflire si elle valait {2,000 livres ent capital.
‘On dita que cest teltre obstacle & la cons
ance; mais los vlectours ne choisissent pas un
Taped oar ere rd ce oe
telat de fa nation entiesal est bon declarer
Fear chols por des riglespréctaes. I faut qu'un
membre. da Corps aislant sot au-dessus. da
essing ll sit iresce 3 foe tes geares de
Tee edb eabendes quit soit inerac6 au Taal
tion Ge ordre: pubis, aux progrds de agrcul-
ture, hin prosert'de aa'paties i eat done
alle quit’ ait ane. propriié. Les “Ang
Ketel fut ne tno
Tevenu consdérable pour quan clloyen
pretondrg hla qualia Geligible. i fault avoir
ARCHIVES PARLEMENTAIRES.
é a
‘une philbsophie bien hardié pour vouloir.étre
fey ion i et a
fo pense pas que le monarque doive jamais:
former lutte das lls 1p
ebuimandtr de prend
Sstectterecommman
fet qurautant qu
fuembres de proposer une Tol nouvelle, gulvant
Tes forex déterininges } nals ‘sl Te Rol eavoyalt
‘Ux représentaots de Ta nation det édits dont
tous leg ariel seralent prepares, fa Cquronas
Pourrait-ge, hater. de prévedir leurs desseins
| Loutes les fois qu’ello en serait iasteute, leur faire
ndre alnst usage de former eux-inemes les
ois, et se Taliriboer ‘xclusivement: 1a fiberts
serait moins assuree; ear un moonarque qul a te
Arg exclusit de proposer les lois salsit stant
favorable pour accrolie sa puissance par ua acte
de a Iegistation, ov ‘bien il laisse es abun 3
aul ela eu de fes combate pur es
les lols, if leg protége et Jes tonrne & son.
tage. Je crols donc, comme Delolme, que
isan mare de giwition ne, d
‘apparieair au monarqud, et qu'en vere
fement monaratique ogre Une perfecion quil +
eat impossible de rencostror dans la. plupart des
Fepubliques, 00, pour empécter les corps let
Jalife dese liveee aux. changements avee trop de *
précipitation,'les mayistrats jouissent du droit
‘exelusif de proposer les lois,
‘Av siirplus, Cinitiatiog exereée par le sénat ou
les représeatants est plut6t favorable qu'elle
est autsible ila mojes: du trdne, I n'est plus
expos aa danger de proposer ds is aul pure
falent dire rejelies, {l retuse ow i approuve,
Sansea expliquer les mots. =
Il
De ta sanction royale,
|
Les représentants ne\doivent pas faire des lois
sans fe concoors du_mgnarque, dont fa sanction «
ext absolumment nécessaie. Lette question est dé
‘iéeidée par les cahiers; car, dans Te plus grand
nombre, il est dit expresstment que toutes les
fois serdat concertées afee le Roi, Ou ne pourrait
done déclarer celte sanction inutile, sans contre~
‘e vaeu de la nation. Naig, quand ce princi
no serait pas expritué dans ies pouvoira don
par les commettants, i sufirait quils weussent
pas Indiqué elairement une volonté contraire, ~
pour quil dot étre respgcté.
"Toul corps, de quelque manitre qu‘on le com=
ee, cherehe a0 sce prevogatives:
Hoare autorilé veut Sacertiry ei Yon Woppose
tine gue sso ambit, Lee repréeatants du
ple pourratent devedir lea motieesabsolus da
num, si leurs. resolutions ue reneontratent
a ‘eat eertainement Toposabie
‘espérer que les représentants de la nation alent.
toujours ies inémes opioions et tes memes dese
seins que Te prince et es aunisires
coup de elrconstances| ces diverses “autor
Sturont 2 ‘se combate, La ‘pradence et fa sae
fesse" exigent quoa ba laisse b aveun des deux
fants des armes aesex dangereuses pour qu'il
{oit facile & Ton Copptiwer autre ot dusurper
fet droite. Dooner aug represenlauts de Ta nation
fa ficals defaire seulsfoates les los, serait sou
metire& leur volonté les prerogatives’ de la cou-
ronne.
pet
Po
‘election libre des représentants permet:
out despérer que ta/plapart seroat
des mes erfcuxy mal parlout ob serot
me
4