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Un leader américain dit que le vaccin est une arme de destruction massive !

Un leader américain s'en prend lui aussi au vaccin A/H1N1

Le ministre leader de la Nation Islamique, Louis Farrakhan, a déclaré, Dimanche dernier, à


Memphis, à son auditoire, qu'ils devraient refuser de prendre le vaccin H1N1, car elle est une
arme de neutralisation visant à réduire la population mondiale.

Farrakhan n'a jamais eu peur de la controverse et il a déjà affirmé que le 9/11 était un travail
"maison" (= effectué par les Américains eux-mêmes) et dénoncé la manière avec laquelle les
banquiers centraux internationaux contrôle le gouvernement américain.

"La Terre ne peut pas porter 6,5 milliards de personnes. Nous ne pouvons pas en nourrir
autant. Alors, qu'allez-vous faire? En tuer autant que vous le pourrez. Nous devons
développer une science qui les tue et donne l'apparence que les gens seraient morts de
maladie", a dit, à leur sujet, Farrakhan, ajoutant que "beaucoup de gens sages ne prendraient
pas le vaccin", rapporte l'United Press International.

"La communauté noire est devenue toxique et doit se nettoyer et restaurer la paix à
l'intérieur", a ajouté Farrakhan.

Comme nous l'avons précédemment documenté, l'utilisation de vaccins pour stériliser les
populations minoritaires et provoquer des avortements est à l'ordre du jour. Les femmes de la
tribu Akha, qui vivent principalement en Thaïlande, décrivent comment elles ont fait une
fausse couche peu après avoir pris les vaccins, alors qu'elles se trouvaient à huit mois de
grossesse.

D'autres vidéos (sur la même page) montrent les efforts des partisans de la tribu Akha pour
obtenir des réponses de l'Université de l'Oregon et de l'Organisation des Nations Unies, qui
ont fourni des fonds pour la vaccination et les programmes de stérilisation.

Grippe A : première plainte contre le vaccin

Neuf habitants de l'Isère ont déposé plainte contre X vendredi à Grenoble, dénonçant la
campagne de vaccination contre la grippe H1N1 comme «une véritable tentative
d'empoisonnement» de la population, une première en France qui sera suivie d'autres plaintes,
a annoncé leur avocat, Me Jean-Pierre Joseph.

Cette plainte avec constitution de partie civile, également déposée pour «tentative
d'administration de substances (...) de nature à entraîner la mort», a été remise au doyen des
juges d'instruction du tribunal de grande instance de Grenoble. Ce dépôt de plainte a été
confirmé de source judiciaire, selon l'AFP.
Ces plaignants sont neuf habitants de la vallée du Grésivaudan, dont une professionnelle de
santé, une animatrice de radio et une enseignante, qui se sont rencontrés dans des réunions
publiques consacrées notamment aux risques supposés du vaccin contre la grippe H1N1.

Pour eux, cette campagne est «une arnaque»

«L'intérêt de cette action est que des gens en France aient une attitude citoyenne et disent
publiquement: nous avons compris que la campagne de vaccination est une arnaque», a ajouté
l'avocat.

La recevabilité de la plainte sera analysée avant un examen sur le fond, a souligné une source
proche du dossier, se disant sceptique sur l'aboutissement de cette action, la tentative
d'empoisonnement et la mise en danger supposant la nécessité de prouver un lien direct entre
un décès et une vaccination.

Selon Me Joseph, d'autres plaintes similaires seront déposées prochainement en Isère, ainsi
qu'à Paris, Pau et Nantes. Quelques centaines de personnes, opposées au vaccin contre la
grippe H1N1, habitant différentes régions de France et se contactant via l'internet, ont
l'intention de se regrouper en collectif, selon l'avocat.

Pour les autorités de santé, les vaccins H1N1 arrivant sur le marché sont des produits
nouveaux pouvant provoquer des effets secondaires inattendus, qui devront faire l'objet d'une
surveillance, mais elles estiment que les avantages d'une vaccination l'emportent sur les
risques éventuels.

Paris : un homme de 38 ans meurt de la grippe A

un homme de 38 ans, hospitalisé à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière) depuis le 20 octobre, est


décédé mercredi matin de la grippe pandémique H1N1, a-t-on appris auprès de l'Assistance
Publique des hôpitaux

Ce patient souffrait par ailleurs d'une autre pathologie. Il était par ailleurs «porteur d'une
pathologie auto immune associée» (NDLRr: maladie où les anticorps du sujet s'attaque à ses
propres tissus ou organes). Il est décédé «en dépit de la mise en oeuvre de techniques
respiratoires et circulatoires» pour tenter de le sauver.

«Ce décès dramatique chez un jeune patient démontre malheureusement que cette maladie
peut être mortelle», ajoute l'AP-HP qui «s'associe à la douleur de la famille».Ce décès porte à
37 le nombre de morts de malades porteurs du virus H1N1 2009 depuis le début de
l'épidémie.

Les Européens sont-ils prêts à se faire vacciner? Rien n'est moins sûr. A tel point que les
ministres européens de la Santé cherchent désormais à convaincre leurs concitoyens, dont
beaucoup s'interrogent sur les effets secondaires des vaccins, qui sont de livraison. Alors que
la Suède a débuté lundi les injections, la ministre de la Santé publique, Maria Larsson, a dit
espérer «que les gens veulent toujours être vaccinés».

A l'occasion d'une réunion spéciale consacrée à la grippe avec l'ensemble de ses homologues
européens, la ministre a confié que «l'épidémie ne nous a pas frappés autant que nous le
pensions». «Nous devons écouter les experts qui disent : ce n'est pas le moment de baisser la
garde», a-t-elle insisté, en admettant qu'un récent sondage auprès des Suédois indique que la
population est désormais moins encline à se faire vacciner.

Le vaccin immunise dès la première dose.


L'épidémie de grippe est en effet loin de battre son plein en Europe, une situation due en
partie à une météo clémente. Parallèlement, plusieurs pays, dont l'Allemagne, assistent à une
montée de défiance à l'égard des nouveaux vaccins, souvent dotés de conservateurs ou
d'adjuvants (qui augmentent la réponse immunitaire mais peuvent avoir des effets secondaires
chez les femmes enceintes notamment).

Bonne nouvelle néanmoins pour les réfractaires aux injections : les trois vaccins déjà autorisés
dans l'UE immunisent les patients dès la première dose au lieu des deux initialement prévues,
viennent de trancher les fabricants. C'est ce qu'a annoncé lundi la commissaire européenne à
la Santé Androulla Vassiliou. «Cela veut dire que le coût de la grippe va baisser», a-t-elle
commenté. Et si l'avis des fabricants sur le dosage est approuvé, «beaucoup d'Etats européens
seront en mesure de rendre une partie de ces vaccins disponibles pour d'autres pays membres
de l'UE», s'est t-elle réjouie, alors que cinq d'entre eux -les pays baltes, la Bulgarie et Malte -
n'ont encore passé aucune commande.

«C'est une grippe, pas la peste ni le choléra»

«La communication est très délicate, puisque nous disons au grand public qu'il s'agit d'une
grippe et pas de la peste et du choléra», a convenu le ministre luxembourgeois de la Santé
Mars di Bartolomeo. Mais «le taux d'attaque de la grippe, disent les experts, est plus agressif
que celui d'une grippe normale saisonnière», a-t-il prévenu.

Face au caractère bénin de l'épidémie, la ministre française de la Santé, Roselyne Bachelot, a


défendu lundi devant la presse sa stratégie : une communication intense et la commande de 94
millions de vaccins. «Je n'ai jamais tenu un discours alarmiste, mais un discours responsable.
J'ai tout de suite dit que le virus était peu sévère mais très contaminant», a-t-elle précisé.

Devant ses homologues, elle a concédé que «la question des adjuvants (...) reste une source de
préoccupation pour nos concitoyens et peut représenter un frein important à l'adhésion à la
vaccination». Mais il s'agit avant tout d'être «plus pédagogique», a-t-elle jugé, reconnaissant
qu'elle avait encore du travail pour convaincre les professionnels de la santé eux-mêmes.

La composition des vaccins fait polémique en Allemagne. Une polémique sur la composition
des vaccins a également éclaté lundi en Allemagne, l'armée ayant confirmé que les soldats
allemands envoyés à l'étranger allaient bénéficier de vaccins du fabricant américain Baxter,
sans adjuvants et présentant donc moins d'effets secondaires potentiels. «Tous les vaccins sont
sûrs», a dû se défendre à Luxembourg la ministre allemande de la Santé Ulla Schmidt.

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