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Thème :
Présenté par:
BARKA Fatima Zohra Option : Système Parallèle Distribué (SPD)
BARKA Abd eldjalil Mustapha Option : Système d’Information Avancé (SIA)
Promotion 2006/2007
Remerciements
La personne la plus chère de ma vie, à celui qui m’a tout offert pour arriver à ce
stade, « mon papa ».
Ma charmante maman, celle qui m’a mis au monde et qui n’a jamais cessé de
m’entourer de son amour et sa tendresse.
Mon frère et mon binôme Abd Eldjallil Mustapha, qui m'a accompagné durant
tout le déroulement de ce projet.
Mes chères amis : hafsa, fatima, torkia, amina, najet, ibtisème, amina, lila.
Toute ma famille et à tous ce qui m’ont aidé de près ou de loin surtout dans les
moments les plus difficiles.
J e dédie ce présent mémoire à mes chers parents qui ont tout fait
pour me donner une bonne éducation et m’ont apporté leur
soutien moral et financier durant mes études.
Abdeljalill
Sommaire
Introduction Générale ……………………………………………………. 3
Chapitre I : Généralités et Définitions
1. Introduction……………...……………………………………………..... 4
2. Système……………….………………………..……………................... 4
3. Modèle………………..………………………………………………….. 6
4. Modélisation………………………………….…………………………... 8
8
5. Simulation…………………......................................................................
9
6. Conclusion ………...……………….……………………………………
Chapitre II : Les Systèmes Hospitaliers
1. Introduction …………………………………………...…………………. 10
2. Système hospitalier………...…………………………………………….. 10
3. Système hospitalier d’Oran …………………………………….………... 10
3.1. Historique du CHU d’ORAN…………………………………..…….. 10
3.2. Les différentes Service du CHU d'Oran……………………………… 14
3.2.1. C.H.U.ORAN(Siége)….……………………………………………... 14
3.2.2. Les Cliniques ……………………………………………………….. 17
4. Conclusion ……………………………………………………………… 17
Chapitre III : La Méthodologie ASCI
1. Introduction …………………………………………...…………………. 18
2. Méthodologie de modélisation…………………………………………… 18
3. Environnement de modélisation………………………………………….. 18
4. Le processus de modélisation…………………………………………….. 19
5. Les trois sous systèmes…...……………………………………………... 21
6. Conclusion.……………...……………………………………………..... 22
Chapitre IV : Modélisation ARIS
1. Introduction …………………………………………...………...……….. 23
2. Architecture des systèmes d'information intégrés (ARIS)………………. 23
2.1. Le concept de l'architecture ARIS…………………………………… 23
2.2. Notions des Vues descriptives……………………………………..… 23
2.3. Niveaux descriptifs…………………………………………………... 25
3. Modélisation avec ARIS………………………………………………… 26
3.1. Modélisation au sein des vues………………………………………………. 26
3.1.1. Vue organisationnelle……………………………………………….. 26
3.1.2. Vue de données……………………………………………………... 28
3.1.3. Vue de fonctions…………………………………………………... 29
3.1.4. Vue des processus/vue de gestion…………………………………….. 31
4. Conclusion.……………...……………………………………………..... 32
Chapitre V : Simulation SIMULA
1. Introduction …………………………………………...……...………….. 33
2. Historique………………………………………………………………… 33
3. Installer et débuter avec SIMULA……………………………………….. 33
4. Le langage SIMULA……………………………………………………... 33
4.1. Structure d'un programme SIMULA…………...……………………. 33
Sommaire
4.2. Les déclarations de base………………………………………………. 34
4.3. Les entrées/sorties……………………………………………………. 34
4.4. Les instructions de choix et de boucles……………………………….. 35
4.4.1. L'instruction IF…..…………………………………………………………… 35
4.4.2.L'instruction WHILE…………………………………………………………. 35
4.4.3.L'instruction FOR……………………………………………………………... 35
5. L’orienté objets dans SIMULA…………………………………………... 35
5.1. Définition d’une classe………………………………………………... 35
5.2. Création d’un objet …………………………………………………... 36
5.3. L’héritage……………………………………………………………... 36
5.4. Propriétés des objets dans Simula…………………………………….. 36
6. Les Outils de Simulation…………………………………………………. 37
6.1. La classe Simset ……………………………………………………… 37
6.2. La classe Simulation………………………………………………….. 38
7. Conclusion.……………...………………………………………............. 39
Chapitre VI : Mise en Œuvre et Résultats
1. Introduction …………………………………………...……...………….. 40
2. Le Service Pharmacie du CHUO………………………………………… 40
2.1. Définition ……………………………………………………………. 40
2.2. Méthodologie de modélisation……………………………………….. 40
2.2.1. Le modèle de connaissance…………………………………………… 40
2.2.1.1. Sous Système Physique……………………………………………. 42
2.2.1.2. Sous Système Logique ……………………………………………. 45
2.2.1.3. Sous Système décisionnel………………………………………….. 47
2.2.2. Le modèle d’Action…………………………………………………... 48
2.2.2.1. Modèle de files d’attente……………………………………........... 48
2.2.2.2. Modèle SIMULA…………………………………………………. 49
3. Interface de réalisation et initialisation du Programme…………………... 54
4. Conclusion.…………...…………………………………………….......... 57
Conclusion Générale………………….....……………………………… 58
Bibliographie………………….....…………………………………… 59
INTRODUCTION
Les systèmes hospitaliers sont des systèmes complexes qui posent de nombreux problèmes
tels que leur dimensionnement, l’amélioration de leur efficacité ou simplement la compréhension de
leur fonctionnement. Ces problèmes sont des problèmes d'évaluation des performances qui peuvent
être résolus par modélisation.
Notre objectif consiste à étudier le temps de traitement pris par chaque secteur et personne
rattaché au service pharmacie. Cela nous permet d’estimer le temps total après une journée de
travail ou plus.
Dans le cadre de notre projet de Fin d’Etudes, on a effectué un stage au niveau du Centre
Hospitalier Universitaire d’Oran (CHUO), ce qui nous a permit de bien réaliser notre travail.
1. Introduction
D'une façon générale, la simulation et la modélisation sont des méthodes pour étudier les
systèmes, à l'aide de modèles. Dans les paragraphes suivants on va définir ces différents termes qui
seront utilisés tout au long du mémoire.
Dans la littérature on peut trouver plusieurs définitions du mot système. On a gardé et repris
quelques unes :
- Un système est un assemblage d'éléments reliés entre eux, compris dans un ensemble plus
grand. Le mot système dérive du grec "systema" qui signifie "ensemble organisé" et il veut
dire combiner, établir, rassembler [Wk1 07].
- Un système est défini comme une partie de matière délimitée par rapport au milieu extérieur.
Le milieu extérieur est le reste de l'espace entourant le système [Moh 07].
- Un système est un ensemble de concepts présentés sous une forme coordonnée selon une
règle donnée [Die 07].
- Pour De Rosnay (1975), un système est un ensemble d'éléments en interactions dynamiques,
organisés en fonction d'un but [Ara 00].
- Le Moigne (1977) considère le système comme "un objet qui, dans un environnement, doté
de finalités, exerce une activité et voit sa structure interne évoluer au fil du temps, sans qu'il
perde pourtant son identité unique" [Ara 00].
Un système est un ensemble de parties ordonnées. Ces parties ont chacune leurs lois et une
certaine indépendance. Par contre, le tout a ses lois propres, car il existe entre les parties, des liens,
des relations identifiables, au moins pour quelques-unes d'entre elles et qui s'enchaînent souvent
l'une à l'autre. Cet ensemble change avec le temps. Un système n'existe pas dans le vide, mais dans
un milieu qui réagit sur lui et qu'il influence. Il est le plus souvent soumis à des contraintes, et
n'existe que pour atteindre un but suivant un plan, et son fonctionnement est contrôlé [Epm 07].
Suivant son état un système est stable/instable, évolutif/explosif. Suivant l'état de ses
changements un système est continu/discret.
Un système peut être divisé en sous-systèmes. Que le système soit complexe ou simple, son
fonctionnement est le même (figure I.2). Il s'agit d'atteindre un but, un objectif, à partir des données
qui sont estimées ou calculées, puis converties par une opération qui se déroule suivant un plan.
C'est aussi par le même mécanisme de rétroaction que l'environnement modifie le système.
L'élément rétroaction est essentiel au fonctionnement et à la vie du système qu'elle agisse, soit par le
système lui même, soit par l'environnement : cette vie est faite de précision, de souplesse,
d'ajustement et de changement.
Un système doit avoir un certain nombre de critères de qualité telles que : la simplicité, la
souplesse, la fiabilité, l’économie et l’acceptation par les utilisateurs.
3. Modèle
Il n'est pas souvent pratique (parfois il n'est pas possible) d'expérimenter un système réel. Par
conséquent, l'étude de systèmes se fait généralement à l'aide de modèles [Epm 07].
Un modèle est une représentation de système, réel ou imaginaire, dans le but d'expliquer et
de prédire certains aspects de son comportement. Un même système peut être représenté par
différents modèles qui ont chacun un but particulier. Un modèle n'est donc ni vrai ni faux : sa valeur
se juge à la contribution qu'il apporte dans l'explication du système présenté. Le critère de
comparaison des modèles est utilitaire : le meilleur étant celui qui fait du monde réel les prédictions
les plus précises [Epm 07].
La classification des modèles est donnée dans la figure I.3 suivante :
Les modèles reçoivent aussi les mêmes qualificatifs que les systèmes qu'ils représentent.
Le traitement d'un modèle se fait suivant 2 voies : la voie mathématique ou la voie de simulation
[Epm 07].
- la voie mathématique : On a les lois individuelles et les lois d’interconnexion des composantes
qui sont exprimées par des relations mathématiques.
Pour une formulation relativement simple, il est aisé d'analyser l'influence des facteurs par
des techniques mathématiques.
- la voie de simulation : on suit pas à pas des composantes et leurs relations sans les intégrer dans
une description d'ensemble.
- La Réalité : fournir des prévisions les plus proches possible du monde réel.
- La Simplicité : la concentration et la priorité données à un nombre restreint de
variables fondamentales.
- Le modèle est à mi-chemin entre les méthodes empiriques et spéculatives : c'est un
schéma. En effet, ses bases appartiennent au monde réel, sa manipulation est théorique,
ses résultats n'ont de valeur que s'ils sont confirmés par les faits.
4. Modélisation
- Définition usuelle : Opération par laquelle on établit un modèle d'un phénomène, afin d'en
proposer une représentation interprétable, reproductible et simulable [Die 07].
- représentation visuelle, à l'aide d'un logiciel, de phénomènes invisibles à partir d'algorithmes
et de modèles mathématiques [Cyb 07].
- La modélisation d'un objet est sa traduction en formes géométriques et en concepts
mathématiques [Vis 07].
- Technique qui consiste à restituer sous une forme compréhensible par l'ordinateur un objet
ou un phénomène quelconque [Cov 07].
- Représentation d'un objet (ou d'un phénomène) sur un ordinateur. Il existe plusieurs
méthode de modélisation, chacune différentes selon les logiciels utilisés [Moh 07].
5. Simulation
On peut définir la notion de simulation par :
- la simulation est une méthode pratique, pour le choix des solutions, au moment de la
prise de décision.
- mieux comprendre les anciens problèmes & possibilité de détecter les autres problèmes
insoupçonnés.
- excellente méthode de comparaison, d'amélioration et d'appréciation des risques.
- possibilité de vérifier les solutions obtenues par d'autres méthodes de mettre à épreuve
des modèles théoriques.
6. Conclusion
On a définit différentes notions tels que système, modèle, modélisation et simulation et qui
sont essentielles dans notre mémoire. Dans le chapitre suivant on va étudier les systèmes
hospitaliers d’une manière générale et plus particulièrement le Centre Hospitalier et Universitaire
d’Oran (CHUO).
1. Introduction
Parmi les différentes catégories de systèmes qu’on a présenté dans le chapitre précédent on a
choisi le système hospitalier.
L’objet de ce chapitre est d’étudier plus particulièrement le système hospitalier universitaire
d’Oran (CHU d’Oran).
Par rapport au système de production de bien, le SP de soins est distingué par deux aspects
fondamentaux : l’incertitude des processus de soins et leur complexité [Cnr 03] [Lad 05].
Le caractère incertain du processus de soins réside dans la diversité des gammes de soins, la
difficulté de les formaliser et de les standardiser, dans la variabilité de la durée des activités de soins,
et également, dans la singularité du patient. L’incertitude générée par le caractère humain a des
effets sur la complexité des opérations de production, sur leur durée et leur qualité [Lad 05].
La complexité est due d’une part au pilotage du système qui doit prendre en compte aussi
bien les objectifs globaux du système que ceux des acteurs, dont certains disposent de pouvoirs de
décision important. D’autre part, la complexité est imputé au caractère incertain des activités
impliquant la dimension humaine, et aussi aux informations traitées par le système d’information
hospitalier (diverses, multiformes, interventions de multiples acteurs,..Etc.)
En effet, utiliser les approches issues des sciences de l’ingénierie n’est pas suffisant. Il faut
les adapter aux spécificités du système hospitalier et, au besoin, de développer des approches
nouvelles [Lad 05].
C'est six ans plus tard, en Avril 1883, que les malades du vieil Hôpital St Lazare, situé
Boulevard du 2ème Zouaves, venait occuper les nouveaux bâtiments du plateau St Michel (figure
II.1).
Régi au début par le décret du 23 Décembre 1874, puis par celui du 27 Décembre 1943, c'est
le décret n° 57-1090 du 3 octobre 1957, relatif aux hôpitaux et hospices publics d'Algérie, et
l'arrêté du 31 Décembre 1957 fixant les conditions d'organisation et de fonctionnement des
établissements hospitaliers qui donnèrent à l'hôpital civil la dénomination de " centre hospitalier
régional d'Oran ".
Le centre hospitalier régional d'Oran couvre une superficie de 13 hectares et comprend en
plus des services administratifs, économiques, généraux et de laboratoires une capacité
réglementaire d'hospitalisation de 2142 lits pour une capacité réelle de 2922 lits.
Le centre est administré par une commission administrative assisté d'une commission
médicale consultative.
Le CHU d’Oran est composé de différentes administrations qui sont présentées par un
organigramme (figure II. 3). On détaille les différents éléments de cet organigramme :
FigureII.3 :L’Organigramme d’un Centre Hospitalier Universitaire
- La direction générale (DG) est composée d’un directeur général et d’un secrétaire
général
ère
Au niveau de la direction générale du CHU d'Oran (1 étage), le Directeur Général est
assisté par un personnel composé de :
1. Bureau d’ordre général où on trouve une secrétaire, une secrétaire de direction, deux
agents de saisie, un archiviste et un bureau du correspondant informatique.
2. Bureau de l’information et de la communication est chargé de la communication et
des média.
3. Bureau de la sécurité et de la surveillance générale.
4. Bureau des marchés, du contentieux et des affaires juridiques.
- La Direction des Ressources Humaines (DRH) est dirigée par une Directrice des
Ressources Humaines. Elle est composée de deux sous directions: Sous Direction du
personnel et sous direction de la formation.
La sous Direction du personnel est composée d’un bureau des carrières des personnels
administratifs, techniques et de services ; d’un bureau de la gestion des carrières des
personnels médicaux, paramédicaux et psychologues et d’un bureau des effectifs de la
régulation et de la solde.
- La Direction des Moyens et Matériel (DMM) est dirigée par un directeur des Moyens
et Matériels. Elle est composée de trois sous directions:
La sous Direction des Services Économiques est composée d’un bureau des
approvisionnements ; d’un bureau de la gestion des magasins, des inventaires et des
reformes et d’un bureau de la restauration et de l'hôtellerie.
- La Direction des Finances et du Contrôle (DFC) est dirigée par un directeur des
Finances. Elle est composée de deux sous directions:
La sous Direction de l'analyse et de l'évaluation des Coûts est composée d’un bureau
de l'analyse et de la maîtrise des coûts et d’un bureau de la facturation.
Les différents services du CHU se situent au niveau du CHU (Siège) et au niveau de ses
différentes cliniques qui lui sont rattachées.
Le CHU d’Oran occupe une superficie de 13 hectares. Il est composé de 42 services dont
9 extra-muros.
Il a une capacité de plus de 1488 lits dont 700 lits pour la Spécialité Médecine, 541 lits
pour la Spécialité Chirurgie, 136 lits pour la Spécialité Gynécologie et 111 lits pour le
Spécialité Pédiatrie ; et de 6000 travailleurs dont 1312 Personnels médicaux, 1751 Personnels
paramédicaux, 1761 Personnels administratifs et le reste représente le personnel technique, le
personnel de service et le personnel de sécurité.
Ce tableau est réalisé à partir des documentions donnés par le Service Pharmacie et le
Service Ressources Humaines et de l’enquête qu’on a menée au niveau du CHU d’Oran
Code Désignation Acronyme Adresse Nombre de Lits (a) (b)
00 MALADE CHRONIQUE M CHRON CHU - - -
01 URGENCES MEDICALES UM CHU - 01/15 Mercredi
02 REANIMATION MEDICALE PAV.5 CHU 10 10/24 Mardi
03 HEMATOLOGIE HEMATO CHU 27 09/23 Dimanche
04 GASTRO-ENTEROLOGIE GAST CHU 60 09/23 Samedi
05 DERMATOLOGIE PAV.7 CHU 40 06/20 Dimanche
06 CARDIOLOGIE PAV.13 CHU 86 06/20 Mercredi
07 RADIOTHERAPIE R THER CHU 18 04/18 Lundi
08 REEDUCATION FONCTIONNELLE REED CHU 30 08/22 Mercredi
09 PNEUMOLOGIE A PNEUMO A CHU 56 03/17 Dimanche
10 PNEUMOLOGIE B PNEUMO B GLATARDS 40 03/17 Lundi
11 ONCOLOGIE ONCOL GLATARDS 40 03/17 Lundi
12 PSYCHIATRIE PAV.35 CHU 33 04/18 Samedi
13 NEUROLOGIE NEURO CHU 40 07/21 Samedi
14 NEPHROLOGIE NEPHRO CHU - 07/21 Mercredi
15 INFECIEUX INFEC GARNISON 70 11/25 Lundi
16 CLINIQUE CHIRURGICAL A CCA CHU 41 01/15 Mercredi
17 CHIRURGIE UROLOGIQUE PAV.8 CHU 56 02/16 Samedi
18 CHIRURGIE NEUROLOGIQUE CCB CHU 50 07/21 Mardi
19 CHIRURGIE PLASTIQUE PAV.2 CHU 22 05/19 Dimanche
20 URGENCES CHIRURGICALES UC CHU 44 01/15 Mercredi
21 CLINIQUE DE CHERURGIE INFANTILE CCI CHU 60 04/18 Mardi
22 CHIRURGIE GENERALE AIT IDIR PAV.10 CHU 113 04/18 Mercredi
23 CHIRURGIE THORACIQUE CH THOR GLATARDS 40 03/17 Lundi
26 CLINIQUE D’ORTHOPEDIE- CCF CHU 65 05/19 Dimanche
TRAUMATOLOGIE
27 MEDECINE INTERNE A MIA CHU 54 09/23 Dimanche
28 REANIMATION PEDIATRIQUE REAN CHU 08 06/20 Lundi
29 CLINIQUE D’ENDOCRINOLOGIE DIABETOLOGIE ENDOCRI FRONT DE MER 40 10/24 Mardi
30 O.R.L ORL CHU 78 01/15 Mardi
31 PEDIATRIE B MARF CHU 84 7-21 Dimanche
32 PEDIATRIE A (AMILCAR CABRAL) ST MICHEL BOULEVARD 19 02/26 Samedi
ADDA BENAOUDA
33 NEUROPHYSIOLOGIE NEUROPH CHU - - -
34 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE MATER CHU 136 06/20 Mercredi
35 CLINIQUE DE GYNECOLOGIE NOUAR AMONDIER - 02/16 Mardi
FADELA
36 CLINIQUE D’OPHTAMOLOGIE OPHTA FRONT DE MER - - -
37 HEMODIALYSE HEMOD CHU 26 08/22 Mardi
38 RHUMATOLOGIE RHUMA CHU 30 09/23 Lundi
39 CENTRE DE TRANSFUSION SANGUINE CTS CHU - 01/15 Mardi
41 REANIMATION NEO-NATALE NEO-NATALE CHU - 06/20 Lundi
Code Désignation Acronyme Adresse Nombre de Lits (a) (b)
42 LABORATOIRE D’IMMUNOLOGIE IMMUN CHU - 10/24 Mercredi
43 LABORATOIRE DE TOXICOLOGIE LAB TOXICO CHU - - -
44 MEDECINE LEGALE M LEGAL CHU - 03/17 -
45 LABORATOIRE D’ANATOMIE ANAPA CHU - 04/18 -
PATHOLOGIE
46 LABORATOIRE DE BIOCHIMIE LAB BIOCHI CHU - 01/15 Lundi
47 LABORATOIRE DE MICROBIOLOGIE LAB MICRO CHU - 01/15 Samedi
48 LABORATOIRE D’HEMOBIOLOGIE HEMOBIO CHU - 01/15 Mardi
49 RADIOLOGIE CENTRALE RC CHU - 05/19 Mardi
50 RADIO-GARNISON R GAR GARNISON - 11/25 Lundi
51 MEDECINE DE TRAVAIL MED.RAVAIL CHU - 12/26 Samedi
52 EPIDEMIOLOGIE EPI PLACE ROUX - 12/26 Mercredi
53 LABO-GARNISON LAB GAR GARNISON - 11/25 -
54 PHARMACIE D’URGENCES UPHAR CHU - - -
55 PROTHESES DENTAIRES C DENT PLACE ROUX - 11/25 Lundi
56 ORTHOPEDIE DENTO-FACIALE O.D.F PLACE ROUX - 11/25 Lundi
57 ODONTOLOGIE CONSERVATRICE O.C PLACE ROUX - 11/25 Lundi
58 PARODONTOLOGIE PARO PLACE ROUX - 11/25 Lundi
59 PATHOLOGIE BUCCO-DENTAIRE PAV.18 CHU - 11/25 Dimanche
60 URGENCES MEDICALE SAMU CHU - 11/25 Samedi
61 LABORATOIRE REANIMATION MEDICALE PAV.5 CHU - 17/24 Lundi
62 LABORATOIRE PHARMACIE CENTRALE LAB CENT CHU -
63 TOXICOLOGIE TOXICO CHU - 03/17 Mercredi
64 LABORATOIRE GENETIQUE BIOLOGIQUE LAB GBM CHU - - -
MOLECULAIRE
66 SERVICE PENAL PENAL CHU - Lundi Lundi
88 ORSEC ORSEC CHU - - -
99 PHARMACIE CENTRALE PH CENTR CHU - - -
4. Conclusion
Dans ce chapitre, on a présenté un système hospitalier d’une manière générale et nous avons
présenté l’historique, les différentes directions, les services et les laboratoires du Centre Hospitalier
Universitaire d’Oran. Le service pharmacie sera développé dans le chapitre VI.
Dans le chapitre suivant on va présenter la méthodologie ASCI (Analyse, Spécification,
Conception et Implémentation) qu’on a utilisée.
.
1. Introduction
Dans le chapitre précédent, on a présenté le centre hospitalier d’oran (CHU d’Oran) et pour
l’étudier on va utiliser une méthodologie de modélisation tel que ASCI (Analyse, Spécification,
Conception et Implémentation) que l’on va détailler.
Chacune des étapes indiquées inclut une phase de vérification et de validation. Remarquons
qu’un modèle de connaissance a un potentiel d’exploitation très vaste. Il peut par exemple permettre
de spécifier et concevoir :
-un outil pour la gestion en temps réel du système, comme un tableau de bord.
-un système d’information…
Bien que les trois sous systèmes physique, logique et décisionnel soit fonctionnellement
disjoints, ils sont néanmoins liés les uns aux autres. Les interactions entre ces sous systèmes sont
données par la figure III.3
Figure III.3 : Communication entre les trois sous systèmes [Gou 94]
Le sous système décisionnel agit à la fois sur le sous système physique (règles de gestion,
d’attribution des ressources,..) et sur le sous système logique (choix des activités). Le sous système
logique fournit au sous système décisionnel des informations sur les flux traités. Le sous système
décisionnel connaît également, à tout moment, l’état du système. Le sous système logique sollicite
la reconfiguration du sous système physique pour prendre en compte des variations significatives de
la charge du système.
Nous avons vu que ces sous systèmes peuvent être appréhendés de manière hiérarchique.
Deux méthodes de décomposition hiérarchique sont utilisées :
- une décomposition par strates qui a pour objectif de décrire un système à différents
niveaux d’abstraction en fonction des objectifs donnés. Cette décomposition hiérarchique
est utilisée pour décrire le sous système physique. Le comportement du système est
analysé en terme d’entrées, de sorties et de liaisons entre les sous systèmes. Le principe de
cette décomposition est basé sur la nécessité d’indépendance des niveaux d’abstraction.
Une hiérarchie organisée en strates traduit une arborescence de sous systèmes dont les
interactions mutuelles sont ramenées aux seules influences entre les sous systèmes d’une
même strate et entre strates adjacentes,
- une structuration par échelons est utilisée pour les systèmes organisationnels hiérarchiques.
Elle permet de décrire le sous système décisionnel. Cette décomposition est bien adaptée
pour structurer les centres de décision afin de prendre en compte comme critère de
décomposition l’horizon des prises de décision. En effet, la notion d’échelon est liée à la
structure complète d’un système décideur ou plusieurs sous systèmes traitent de
problèmes fortement corrélés.
5. Conclusion
La conception de l'architecture se base tout d'abord sur un modèle développé pour les
processus d'entreprise et contenant toutes les caractéristiques principales nécessaires à la description
de processus d'entreprise. Le modèle complexe qui en résulte est décomposé en plusieurs vues.
Cette décomposition par vues permet alors de procéder à la description du contenu de ces vues à
l'aide de méthodes spécialement adaptées à chacune d'elles sans qu'il soit nécessaire de tenir compte
des multiples relations et liens que ces vues peuvent entretenir entre elles. Les relations entre les
vues sont ensuite prises en compte et regroupées sans redondances pour une vue générale des
chaînes de processus.
Le concept ARIS fournit ainsi un cadre dans lequel des systèmes d'information intégrés
peuvent être développés et optimisés et dans lequel la transposition de ces systèmes peut être décrite.
C'est en particulier l'accentuation du niveau descriptif spécialisé qui permet au concept ARIS
de jouer un rôle d'orientation lors de l'élaboration, de l'analyse et de l'évaluation de chaînes de
processus économiques.
- Règles de gestion
Dans les règles de gestion, le concept d'application de gestion d'entreprise devant être géré
est donc représenté dans une langue descriptive suffisamment formalisée afin qu'il puisse servir de
base à une transposition cohérente dans les techniques de traitement de l'information. Cette
opération est également désignée comme modélisation sémantique.
- Concept informatique
Si le champ conceptuel des règles de gestion est transféré dans les catégories de la
transposition informatique, le niveau du concept informatique est atteint. Ce sont les méthodes ou
les transactions exécutant les fonctions spécialisées qui sont définies ici et non ces dernières. Ce
niveau peut être défini comme le lieu d'adaptation de la Description spécifique aux canevas
descriptifs généraux des techniques de traitement de l'information.
- Implémentation
Au niveau de l'implémentation, le concept informatique est converti en composants
informatiques concrets. La relation à la technique de traitement de l'information est ainsi établie. Le
niveau d'implémentation est étroitement lié au développement de la technique de traitement de
l'information et subit constamment des modifications de par ses cycles innovatifs fréquents.
Avec la constitution des vues et les niveaux descriptifs, nous vous avons présenté le concept
ARIS de manière concise.
Chacune des vues est décrite pour les trois niveaux : règles de gestion, concept informatique
et implémentation.
L'outil ARIS Toolset est un des outils de modélisation de la méthode ARIS Tool. Il a été
développé par l'entreprise Scheer IDS. ARIS a également sa langue de modélisation propre, qui n'a
aucun nom spécifique. La langue de modélisation contient environ 80 types de diagramme. Chacun
des types de diagramme a une liste d'objets permis, dont beaucoup sont communs à plusieurs types
de diagramme. Les types d'objet sont environ 110 mais ils sont séparés dans des groupes avec des
propriétés communes. Chaque type de diagramme définit aussi des liaisons permises entre des types
d'objet. Une liaison peut avoir des types définissant sa sémantique et attributs. [Vil 04]
Certains des types de diagramme ont une sémantique bien définie. Ceux-ci sont les
Diagrammes de Chaîne de Processus Evénementiel (CPE); le Diagramme de chaînes de processus
(DCP), la structure d'organisation (l'organigramme) et la modélisation de données (plusieurs sortes
des modèles Entité- Relations). [Vil 04]
Ces diagrammes seront décrits dans la partie suivante, lors de la modélisation du processus
gestion de commandes à l'aide de l'outil ARIS Toolset. [Vil 04]
Les unités organisationnelles sont les responsables des tâches à accomplir pour réaliser les
objectifs de l'entreprise.
Les liens représentent les relations entre les unités organisationnelles. Pour une spécification
plus précise des rapports hiérarchiques, on distingue différents types de liaisons entre les unités
organisationnelles.
Lorsque les compétences fonctionnelles sont saisies dans les cases, l'organigramme
représente la répartition des tâches d'entreprise. Les unités organisationnelles et les personnes
peuvent également être caractérisées. Il est donc possible de définir, pour une unité
organisationnelle, s'il s'agit par exemple d'un service, d'un département ou d'un groupe; les
personnes peuvent être affectées aux types de personnes chef de service, chef de groupe ou chef de
projet.
La vue organisationnelle regroupe les utilisateurs et les unités organisationnelles ainsi que
leurs relations et leurs structures. Elle comprend un certain nombre de diagrammes, offrant chacun
un aspect distinctif. [Vil 04]
La structure de l'entreprise représentée dans l'organigramme peut désormais être gérée par
des systèmes de communication et d'information. Les exigences posées à l'organisation structurelle
de ces systèmes d'information peuvent être définies en premier lieu dans le concept informatique
sous forme de topologies de réseau.
-La Figure IV.3 illustre un exemple de type de réseau.
Les règles de gestion de la vue des données contiennent la description du modèle de données
sémantique du domaine de recherche concerné. Selon le principe de décomposition d'ARIS, les
objets permettant la spécification des événements de départ et de fin, ainsi que les descriptions
d'état du cadre pertinent d'une chaîne de processus, sont décrits.
La méthode de conception la plus répandue pour les modèles de données sémantiques est le
modèle entité-relation (MER) de Chen [Che 76]. Cette méthode de modélisation fait appel à des
termes aussi divers que type d'entité, type de relation, attribut, etc. De nombreuses relations existent
entre ces objets ; elles sont en outre bien plus difficiles à classifier que pour la modélisation de
fonctions.
Dans le concept informatique de la vue des données, le modèle sémantique est converti en un
modèle logique de base de données. Pour cela, le système utilise des diagrammes de relations, qui
représentent l'affectation des types d'entités et des types de relations aux relations.
Le diagramme de relations des attributs permet de définir les relations et les attributs ainsi
que leurs relations aux objets d'information introduits dans les règles de gestion.
Une relation logique décrit un type d'entité en utilisant ses attributs. Elle est un sous-ensemble
de combinaisons possibles de plages de valeurs de tous les attributs.
Le diagramme de table permet de décrire les tables et les champs d'un système de base de
données.
La représentation graphique de tables et de champs est montrée :
La décomposition des fonctions peut s'effectuer sur plusieurs niveaux hiérarchiques. Dans
les arbres de fonctions sémantiques, les fonctions élémentaires forment le niveau inférieur.
Les fonctions élémentaires sont des fonctions qu'il n'y a pas lieu de décomposer pour
répondre aux besoins de la gestion d'entreprise.
Cette décomposition est représentée dans des arbres de fonctions ou des diagrammes de
hiérarchie. Dans un arbre de fonctions, les fonctions peuvent être regroupées suivant différents
critères. Parmi les critères fréquemment utilisés, on peut citer le traitement du même objet
(orientation objet), la décomposition selon l'appartenance à un même processus (orientation
processus) ou le regroupement de fonctions selon les opérations (orientation opération).
Le Type d'application est donc le type d'objet central du concept informatique de la vue des
fonctions.
Le diagramme de type d'application permet également de définir les fonctions des règles de
gestion qui sont soutenues par les types d'applications et les types de modules définis. Cette
affectation forme ainsi le lien entre les règles de gestion et le concept informatique de la vue des
fonctions.
Dans le diagramme d'application, il est possible d'affecter les applications et les modules
concrets aux types d'applications et aux types de modules du concept informatique. Il s'agit ici des
exemplaires d'un type d'application dont dispose une entreprise, qui sont p. ex. identifiables grâce à
leur numéro de licence.
-Les applications et les modules sont représentés graphiquement :
Les relations entre les trois vues différentes sont mises en évidence dans la vue de gestion
(processus). Les processus d'entreprise se trouvent au centre de la vue de gestion. Parmi les
diagrammes utilisés dans cette vue on trouve :
Unité organisationnelle
Groupe
Poste de travail
Type de personne
Personne
Connaissances documentées
Support d’information
Type de matières
Type d’objet CPE
Type d’emballage
Tableau IV.1 : Tableau des symboles des types de modèles CPE [Ids 00]
Dans ce diagramme de chaînes de processus, sont représentées toutes les vues relatives à un
processus d'entreprise (vue organisationnelle, vue des données, vue des fonctions et vue des
ressources) ainsi que leurs relations apparaissent sous une forme structurée.
4. Conclusion
D’après ce chapitre, on peut dire que la méthode ARIS est robuste et elle est plus adaptée
aux processus complexes de production ; et que le concept d’ARIS offre ces possibilités aussi bien
en ce qui concerne les questions de gestion et d’organisation que la mise en œuvre des systèmes
d’information.
Dans le chapitre suivant on va représenter l’outil de simulation SIMULA pour le modèle
d’action de la méthodologie ASCI.
1. Introduction
On a présenté dans le chapitre précédent l’outil de modélisation ARIS qui spécifier l’utilité
du modèle de connaissance, et pour le passage de ce modèle vers un modèle d’action on va utiliser
un outil de simulation.
Parmi les outils de simulation (QNAP2, Witness, SIMULA,…etc.) on a choisi SIMULA et que
l’on va détailler tout au long de ce chapitre.
2. Historique
SIMULA est le premier langage de programmation orienté objets, développé dans les années
60, par Ole Johan Dahl et Kristen Nygaard du Norwegian Computing Center (NCC) à Oslo
(Norvège) à partir d’un autre langage : Algol 60, pour traiter des problèmes de simulation de
processus physiques et introduit pour la première fois les notions de Classe et d’Objet.
4. Le langage SIMULA
Comme tout langage de programmation, Simula possède une structure et une syntaxe
comprenant les déclarations des différents types, procédures, …en plus de la partie orientée objets.
Dans la section suivante, on va aborder la syntaxe de Simula.
Un programme SIMULA est un bloc débutant par Begin et se terminant par End de la
forme :
Begin
< Déclarations>
< Enoncés>
End
Les types de base dans Simula sont les types : entier, réel, booléen, référence (ou pointeur) et
texte (chaîne de caractères).
Chaque type de donnée possède une fonction d'entrée et une fonction de sortie qui transfère
une valeur à la fois. Pour les écritures, on doit spécifier la taille des champs. Le tableau V.1 suivant
résume les différentes fonctions relatives à chaque type.
Lecture Sortie
Integer I:= inint ; outint(I,10) ;
Real X:= inreal ; outreal(X,2,10);
Character C:= inchar ; outchar( C ) ;
Text T:= intext(20) ; outtext(" OK !") ;
4.4.1 L'instruction IF
Exemple:
I:= if a+b>0 then I+1 else I-1;
Exemple:
While i<10 do i:=i+1
Exemples:
for I:= 1 step I+1 until 100 do ...;
for I:= 100 step -1 until 1 do ...;
for I:= 1,I+3 while I**2 < 100 do ...;
for I:= 2,3,5,7,11 step 4 until 51 do ...;
for C:= 'A','E','I','O','U','Y' do ... ;
for P:- P1,P2,P3 do ...;
Simula est considéré comme le premier langage de programmation orienté objets. Pour cela,
il offre la possibilité de définir des objets, des classes et l'héritage.
Une classe peut être définie comme une structure de données à laquelle on ajoute des
fonctions permettant de manipuler les données de cette structure. Une classe est un type abstrait. Un
objet est une représentation de la classe obtenue dynamiquement au moment de l’exécution du
programme.
Les objets spécifies par des classes doivent être crées dynamiquement par l'opérateur NEW
et on les accède par des pointeurs (REFERENCES).
REF(POINT) P;
...
P:- NEW POINT;
P.X:= 1; P.Y:= 3.0;
P.DIST:= SQRT (P.X**2 + P.Y**2);
Une classe B peut hériter des propriétés d’une classe A en préfixant sa déclaration :
begin
Déclaration d’attributs de A;
Actions d’initialisation A;
end;
begin
Déclaration d’attributs de B;
Actions d’initialisation de B;
end;
- Les classes sous Simula ont des bilans sur leurs états
- Les objets à travaillent comme des processus qui peuvent s'exécuter en quasi-parallèle.
- Les objets peuvent interrompre temporairement leur exécution pour donner le contrôle à un
autre processus.
Deux constructeurs : Detach et Call, sont utilisés pour passer le contrôle entre les différentes
instances d’objets :
Detach permet d'arrêter l'exécution d'un objet. Le premier appel à Detach retourne le
contrôle au point ou l'objet à été créé. L'exécution du reste de l'objet peut être reprise plus tard par
l'appel de l'opérateur Call. Les prochains appels de Detach arrêtent l'exécution de l'objet et passent
le contrôle aux points d'appel de l'objet.
6. Les Outils de Simulation
Les listes de SIMSET sont circulaires à deux sens avec têtes de listes. Trois classes sont
définies : HEAD qui décrit les têtes de listes et comprend les procédures et fonctions s'appliquant
aux listes, par exemple FIRST pour donner le premier élément d'une liste; LINK que l'usager utilise
comme préfixe aux objets qui seront membres de listes; et LINKAGE, préfixe commun à HEAD et
LINK afin de permettre le chaînage.
SIMULATION est une classe qui introduit le concept de PROCESS afin de décrire des
objets dont la synchronisation est basée sur l'évolution du temps. Avec cette classe comme préfixe,
l'usager n'utilise plus les primitives RESUME, DETACH et CALL qui font des transferts de
contrôle explicites. Par contre, des procédures de plus haut niveau sont fournies pour qu'un
PROCESS qui veut s'arrêter temporairement puisse indiquer l'heure (EVTIME) à laquelle il désire
continuer. Tous les PROCESS actifs sont chaînés dans un échéancier SQS(SeQuencing Set) par
ordre croissant de EVTIME et l'arrêt d'un process entraîne l'activation automatique du process en
tête de SQS. (Notons que le "temps" est simulé et n’à aucun rapport avec l'écoulement réel du temps
de calcul; les evtimes servent à imposer une relation d'ordre entre les phases de calcul des différents
process).
DETACH;....
END;
{ REF(HEAD) SQS ; }
REF(PROCESS) PROC CURRENT;...
REAL PROC TIME ;...
REF(PROCESS) MAIN ;
END;
Notons que : [Vau 97]
- SIMULATION est préfixée par SIMSET pour donner accès au traitement de listes.
- Un PROCESS est préfixé par LINK. Un processus peut être à la fois dans SQS et une seule
autre liste.
- -Pour raison de sécurité, la liste SQS est inaccessible à l'usager. Par contre CURRENT est
une fonction qui retourne une référence sur le premier processus de SQS. Par définition, ce
premier processus est celui qui est en exécution.
- TIME retourne CURRENT.EVTIME, ce à dire l'heure courante.
- Le programme peut agir comme un processus et il est désigné par MAIN
7. Conclusion
2.1. Définition
La pharmacie représente l’un des services prestataires de l’hôpital. Sa mission réside dans la
fourniture des médicaments pour les patients qui séjournent dans l’hôpital. Dans ce mémoire on
abordera le problème de modélisation et de la simulation de ce service dans le Centre Hospitalier
Universitaire d’Oran.
La pharmacie est composée de différentes sections qui sont présentées par l'organigramme
de la (figure VI.1). La pharmacie est fréquentée par plusieurs services (voir tableau II.1).
Un sous système Physique comprend les entités qui traitent la charge et réalisent les
activités générées.
Le sous système physique de la pharmacie est présenté par les schémas relations entre
services, la matrice des services et l'organigramme ARIS. La légende de cette figure est donnée
dans le tableau II.1.
L'organigramme de la pharmacie est donné par la figure VI.4. La légende de cette figure est
donnée dans le tableau II.1.
Le sous système logique de la pharmacie est présenté par les CPE suivant:
L'enchaînement de fonctions dans le sens d'un processus d'entreprise est représenté dans des
chaînes de processus. Dans ces chaînes, il est possible d'indiquer les événements de départ et
d'arrivée pour chaque fonction. Les événements déclenchent les fonctions et sont générés par ces
dernières.
Fonction Evénement
Comme les événements définissent l'état ou la condition qui déclenche une fonction ainsi
que l'état qui en marque l'achèvement, les nœuds de départ et d'arrivée d'une telle CPE sont toujours
des événements. Un événement peut déclencher plusieurs fonctions simultanément et, inversement,
une fonction peut engendrer plusieurs événements. Pour pouvoir représenter ces ramifications et ces
boucles de traitement dans une CPE, le système utilise un connecteur (ou règle) en forme de cercle.
Celui-ci n'est cependant pas un simple connecteur graphique, il définit également les connexions
logiques entre les objets qu'il relie.
L’objectif des modèles de simulation réalisés est d’évaluer les critères de performances afin
de dimensionner au mieux les services, d’ajuster le taux d’utilisation des ressources et de diminuer
les temps d’attentes des services et des praticiens dans les services de la Pharmacie.
2.2.2.2. Modèle SIMULA
Le langage SIMULA a prouvé sa capacité d’implantation de différentes catégories de
modèles de simulation. Il inclut des coroutines et des processus de la simulation à événement
discret. De nombreuses classes existantes prolongent des possibilités du langage en gestion de
transactions et en calcul de statistiques. La classe Gpsss fournit les objets de base tels que le service,
le stockage, les notions de transaction et de région statistique, de plus un rapport de simulation est
automatiquement généré. Il peut donc être employé comme en programmation GPSSS mais avec
toutes les capacités d'un langage de simulation orienté objet.
L'activité d'accueil de Service est assurée par un objet facility qui correspond au serveur
unique d'une station. Les statistiques concernant l'attente sont collectées par un objet region. L'objet
storage remplit le triple rôle de serveur multiple, de déchargement, de Saisie, de contrôle et de
distribution. Les délais associés aux durées de traitement (décharge, contrôle, saisie, distribue) sont
exécutés par l'appel à la méthode hold. Les objets utilisés et les résultats sont regroupés dans le
tableauVI.1.
Dans les sous paragraphes suivants, on présente les programmes en Simula de la partie file
d'attente du "déchargement" et de la "distribution" ainsi que les résultats respectifs obtenus.
a- Programme « Déchargement » en SIMULA
transaction CLASS Pharmacie(k);integer k;
BEGIN
d(k):=time;
enter_facility(Service(k));
enter_region(mission(k));
hold(uniform(5,10,u));
enter_storage(Personne(k),s(k)); ! Prise personnel;
hold(uniform(AtPMin(k),AtPMax(k),u)); ! Durée Operation;
leave_storage(Personne(k),s(k)); ! Libérer personnel;
if Nbrm(k) < r(k) then GenerateRequest(k);
enter_storage(Controleur(k),1); ! Prise personnel;
Hold(uniform(ContMin(k),ContMax(k),u)); ! Durée Operation;
leave_storage(Controleur(k),1); ! Libérer personnel;
enter_storage(Saisie(k),1); ! Prise personnel;
hold(uniform(SaisMin(k),SaisMax(k),u)); ! Durée Operation;
leave_storage(Saisie(k),1); ! Libérer personnel;
leave_region(mission(k));
leave_facility(Service(k));
a(k):=a(k)+(time-d(k));
if Nbrm(k) = r(k) then
begin
b(k):=b(k)+1;
hold((b(k)*ArrCam(k))-a(k)-1);
hold(uniform(5,10,u));
r(k):=r(k)+uniform(NbCMin(k),NbCMax(k),u);
end;
END;
Le tableau VI.1 contient les différentes données du modèle par service pour le déchargement.
Les valeurs représentant des données réelles prises du service pharmacie du CHUO pour le
déchargement.
Personnel Décharge Saisie Contrôle Fournisseur
Min Max Min Max Min Max Min Max Min Max Arrivée
Unité Médicament 2 5 45 60 60 120 60 120 1 3 1/mois
Unité Solutés Massifs 1 2 30 60 60 120 30 60 1 3 1/mois
Section Usage Unique 2 5 30 60 60 120 60 120 1 3 1/mois
Section Pansements 3 5 30 60 60 120 60 120 1 3 1/7jours
Section 1 2 30 60 480 960 60 120 1 3 1/3mois
Instrumentations
Section Consommable 2 5 30 45 30 60 30 60 1 3 1/mois
Produit
Le Laboratoire 2 5 30 45 30 60 30 60 1 3 1/mois
Tableau VI.1 : Données du modèle par service (décharge)
a*b/c probabilité
a*b*100/c pourcentage
Capacité du Personnel
enter_facility(Service(k));
enter_region(mission(k));
hold(uniform(5,10,u));
enter_storage(Distributeur(k),1); ! Prise personnel;
hold(uniform(ContMin(k),ContMax(k),u)); ! Durée Operation;
enter_storage(Saisie(k),1); ! Prise personnel;
hold(uniform(SaisMin(k),SaisMax(k),u)); ! Durée Operation;
leave_storage(Saisie(k),1); ! Libérer personnel;
leave_storage(Distributeur(k),1); ! Libérer personnel;
leave_region(mission(k));
leave_facility(Service(k));
if Nbr(k) = r(k) then
begin
d(k):=time;a(k):=a(k)+1;
enter_region(temp(k));
hold((a(k)*ArrSar(k))-d(k));
leave_region(temp(k));
hold(uniform(5,10,u));
r(k):=r(k)+uniform(NbsMin(k),NbsMax(k),u);
end;
GenerateRequest(k)
END;
Le tableau VI.2 contient les différentes données du modèle par service pour la distribution.
Les valeurs représentant des données réelles prises du service pharmacie du CHUO pour la
distribution.
c :7 jours d’exécution
a*b/c probabilité
a*b*100/c pourcentage
Capacité du Personnel
b) Distribution
Le travail de section est compris entre 27% et 62% du temps simulé. Le taux d'occupation
du personnel de distribution est compris entre 19% et 45% et celui de la saisie entre 12% et 28%.
Il ne s'agit que d'une simulation sur une durée de 7*8 heures (7 jours). Remarquons que
pour la section Médicament et soluté massif, le temps moyen de séjours est très important par
rapport à la durée des autres sections. Cela est dû au nombre important de services arrivés qui
est de 8 et 12 services (tableau VI.2). Mais on n'oubliera pas que pour ces deux sections, la
distribution se fait d'une manière hebdomadaire et pour cela il faut faire passer plus de 60
services durant les 7 jours.
Cette interface a été développé à l'aide de langage JAVA [Jbuilder x] (Figure VI.12 et 13).
L’outil d’aide à la décision, réalisé avec la classe Gpsss, nous a fourni des résultats sur le
taux d’utilisation de personnel, contrôle, décharge et distribution du service pharmacie du Centre
Hospitalier Universitaire d’Oran (CHUO).
CONCLUSION
Dans ce travail on a modélisé et simulé le service pharmacie du Centre Hospitalier
Universitaire d’Oran (CHUO), à l’aide d’une méthodologie de modélisation ASCI (Analyse-
Spécification-Conception-Implimentation), l’outil de modélisation ARIS, le langage de simulation
SIMULA et l’outil d’aide à la décision réalisé avec la classe Gpsss.
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Programme SIMULA
Le programme en SIMULA de la Distribution est le suivant :
procedure GenerateRequest(k);integer k;
BEGIN real p;
NbG:=NbG+1;
Nbr(k):= Nbr(k)+1;
p:=uniform(5,10,u);
ACTIVATE NEW Pharmacie(k) AT p;
END;
% -Declaration:
REAL array SaisMin,SaisMax,ArrSar,ContMin,ContMax(1:7);
TEXT array Section(1:7);
INTEGER array Nbr,Nbs,NbsMin,NbsMax,r,d,a(1:7);
INTEGER nbG,k;
REF(Facility) array Service(1:7);
REF(storage) array Distributeur,Saisie(1:7);
REF(region) array mission,temp(1:7);
% -Initialisation:
SaisMin(1):=10;SaisMax(1):=15;
ArrSar(1):=1*480;Nbs(1):=uniform(08,12,u);
ContMin(1):=5;ContMax(1):=10;
Section(1):-"Medicament";NbsMin(1):=08;NbsMax(1):=12;
SaisMin(2):=10;SaisMax(2):=15;
ArrSar(2):=1*480;Nbs(2):=uniform(08,12,u);
ContMin(2):=5;ContMax(2):=10;
Section(2):-"Solutes Massifs";NbsMin(2):=08;NbsMax(2):=12;
SaisMin(3):=10;SaisMax(3):=15;
ArrSar(3):=1*480;Nbs(3):=uniform(03,07,u);
ContMin(3):=5;ContMax(3):=10;
Section(3):-"Usage Unique";NbsMin(3):=03;NbsMax(3):=07;
SaisMin(4):=10;SaisMax(4):=15;
ArrSar(4):=1*480;Nbs(4):=uniform(03,07,u);
ContMin(4):=5;ContMax(4):=10;
Section(4):-"Pansements";NbsMin(4):=03;NbsMax(4):=07;
SaisMin(5):=10;SaisMax(5):=15;
ArrSar(5):=1*480;Nbs(5):=uniform(03,07,u);
ContMin(5):=5;ContMax(5):=10;
Section(5):-"Instrumentations";NbsMin(5):=03;NbsMax(5):=07;
SaisMin(6):=10;SaisMax(6):=15;
ArrSar(6):=1*480;Nbs(6):=uniform(03,07,u);
ContMin(6):=5;ContMax(6):=10;
Section(6):-"Consommable Produit";NbsMin(6):=03;NbsMax(6):=07;
SaisMin(7):=10;SaisMax(7):=15;
ArrSar(7):=1*480;Nbs(7):=uniform(03,07,u);
ContMin(7):=5;ContMax(7):=10;
Section(7):-"Laboratoire";NbsMin(7):=03;NbsMax(7):=07;
% -Instances:
FOR k:=1 STEP 1 UNTIL 7 DO
BEGIN
Service(k):- New facility("Service"&Section(k));
mission(k) :- NEW region("mission"&Section(k));
temp(k) :- NEW region("TempPerdu"&Section(k));
Saisie(k) :- NEW storage("Sais"&Section(k),1);
Distributeur(k) :- NEW storage("Distributeur"&Section(k),1);
END;
% -Simulation:
% -Start:
Hold(7* 480);
standard_report; Outimage;
Setpos(16);outtext("Nombre service Distribue Arriver"); Outimage;
for k :=1 step 1 until 7 do
begin
setpos(16);outtext(Section(k)&" :");setpos(46);outint(Nbr(k),3);setpos(55);outint(r(k),3);outimage;
end;
Setpos(16);outtext("Nombre Total de Destribution :");setpos(43);Outint(NbG,6); Outimage;
END;
END;
Le programme en SIMULA du Déchargement est le suivant :
procedure GenerateRequest(k);integer k;
BEGIN real p;
NbG:=NbG+1;
Nbrm(k):=Nbrm(k)+1;
p:=uniform(5,10,u);
ACTIVATE NEW Pharmacie(k) AT p;
END;
% -Declaration:
INTEGER array Nbrm,NbPMin,NbC,s,NbPMax,NbCMin,NbCMax,a,d,r,b(1:7);
REAL array AtPMin,AtPMax,SaisMin,SaisMax,ArrCam,ContMin,ContMax(1:7);
TEXT array Section(1:7);
INTEGER Nbr,Nbp ,NbG ,l,k;
REF(Facility) array Service(1:7);
REF(storage) array personne,controleur,Saisie(1:7);
REF(region) array mission,temp(1:7);
% -Initialisation:
NbPMin(1):=02;NbPMax(1):=05;AtPMin(1):=45;
AtPMax(1):=60;SaisMin(1):=60;SaisMax(1):=120;
ContMin(1):=60;ContMax(1):=120;
ArrCam(1):=1*480;NbC(1):=uniform(1,3,u);Section(1):-"Medicament";
NbCMin(1):=1;NbCMax(1):=3;
NbPMin(2):=01;NbPMax(2):=02;AtPMin(2):=30;
AtPMax(2):=60;SaisMin(2):=60;SaisMax(2):=120;
ContMin(2):=30;ContMax(2):=60;
ArrCam(2):=1*480;NbC(2):=uniform(1,3,u);Section(2):-"Solutes Massifs";
NbCMin(2):=1;NbCMax(2):=3;
NbPMin(3):=02;NbPMax(3):=05;AtPMin(3):=30;
AtPMax(3):=60;SaisMin(3):=60;SaisMax(3):=120;
ContMin(3):=60;ContMax(3):=120;
ArrCam(3):=1*480;NbC(3):=uniform(1,3,u);Section(3):-"Usage Unique";
NbCMin(3):=1;NbCMax(3):=3;
NbPMin(4):=03;NbPMax(4):=05;AtPMin(4):=30;
AtPMax(4):=60;SaisMin(4):=60;SaisMax(4):=120;
ContMin(4):=60;ContMax(4):=120;
ArrCam(4):=1*480;NbC(4):=uniform(1,3,u);Section(4):-"Pansements";
NbCMin(4):=1;NbCMax(4):=3;
NbPMin(5):=01;NbPMax(5):=02;AtPMin(5):=30;
AtPMax(5):=60;SaisMin(5):=480;SaisMax(5):=960;
ContMin(5):=60;ContMax(5):=120;
ArrCam(5):=1*480;NbC(5):=uniform(1,3,u);Section(5):-"Instrumentations";
NbCMin(5):=1;NbCMax(5):=3;
NbPMin(6):=02;NbPMax(6):=05;AtPMin(6):=30;
AtPMax(6):=45;SaisMin(6):=30;SaisMax(6):=60;
ContMin(6):=30;ContMax(6):=60;
ArrCam(6):=1*480;NbC(6):=uniform(1,3,u);Section(6):-"Consommable Produit";
NbCMin(6):=1;NbCMax(6):=3;
NbPMin(7):=02;NbPMax(7):=05;AtPMin(7):=30;
AtPMax(7):=45;SaisMin(7):=30;SaisMax(7):=60;
ContMin(7):=30;ContMax(7):=60;
ArrCam(7):=1*480;NbC(7):=uniform(1,3,u);Section(7):-"Laboratoire";
NbCMin(7):=1;NbCMax(7):=3;
for k:=1 step 1 until 7 do Nbrm(k):=0;
for k:= 1 step 1 until 7 do
begin s(k):=uniform(NbPMin(k),NbPMax(k),u);d(k):=0;a(k):=0;b(k):=0;r(k):=NbC(k);end;
% -Instances:
% -Start:
Hold(1*480);
standard_report; Outimage;
Setpos(16);outtext("Nombre services Decharge Arrivee"); Outimage;
for l :=1 step 1 until 7 do
begin
setpos(16);outtext(Section(l)&" :");setpos(46);outint(Nbrm(l),3);setpos(55);outint(r(l),3);outimage;
end;
Setpos(16);outtext("Nombre Total de Dechargement :");setpos(43);Outint(NbG,6); Outimage;
END;
END;